Vous avez des problèmes avec votre passé ; qui n’en a pas eu un jour ou l’autre ? Il vous faut vous séparer de votre passé et c’est une chose qui demande souvent du temps, alors n’attendez pas !
Si pour une raison ou une autre votre passé est très lourd, il sera très bénéfique de le confier sans crainte à un professionnel ( médecin, psychologue, curé avocat, juge, gendarmerie ….etc) Même si la prison est une étape nécessaire, une liberté dix fois plus grande et plus riche est à la sortie.
Pour les cas plus bénins, et je dirais même pour les cas sans accrocs il est toujours bon de confier son passé, sa façon de fonctionner, de vivre, à une autre personne.
Le seul souci qui se pose et c’en est un : à qui je vais me dévoiler ? Choisissez une personne étrangère à la famille dont vous aurez senti le feeling et avec qui vous sentez que le courant va bien passer. Testez-le par une ou deux phrases pour vérifier s’il est prêt à écouter puis allez-y franchement si vous sentez que la confiance règne.
L’idéal est de tomber sur une personne qui a déjà fait une démarche spirituelle, en tout cas d’amélioration de soi ; et çà se trouve.
« Avant de monter sur la montagne, paye tes dettes » est un magnifique proverbe Sherpa qui s'applique à plusieurs niveaux
au premier degré, si tu veux monter sur l'Everest, tu es quasi sûr de ne pas revenir
au deuxième degré, paye tes dettes avant de mourir
et au troisième degré, si tu veux aller bien, faire des choses, aller de l'avant, aboutir dans tes projets, tes rêves, alors règle le passé et n'en reste pas esclave.
«Réussir c'est aller d'échec en échec en gardant son enthousiasme» Churchill
«Après un échec, tout n'est pas fini, C'est un cycle qui commence en beauté» Baudelaire
«Oublie l'échec, retiens les leçons» Confucius
«ce qui ne me tue pas me rends plus fort» Nietzsche
«quand tout est fichu, il y a encore le courage» (anonyme)
«Si je recommençais ma vie, je tâcherais de faire mes rêves encore plus grands ;parce que la vie est infiniment plus belle et plus grande que je n’avais cru, même en rêve.» Georges Bernanos